Conte enfant
 
Fabrique un conte perso

 Conte arabe (60)
 Conte bébé (6)
 Conte chinois (16)
 Conte de fee (77)
 Conte ecole (34)
 Conte enfant (26)
 Conte japonais (32)
 Conte merveilleux (78)
 Conte mexicain (20)
 Conte russe (13)
 Conte tunisien (4)
 Contes africain (71)
 Contes andersen (57)
 Contes animaux (78)
 Contes bretons (16)
 Contes de grimm (139)
 Contes de la becasse (17)
 Contes de la crypte (34)
 Contes de noel (73)
 Contes de perrault (13)
 Contes des milles et une nuit (4)
 Contes du Maroc (3)
 Contes du monde (45)
 Contes écrits par des enfants (97)
 Contes égyptiens (2)
 Contes en ligne (72)
 Contes et légendes (26)
 Contes fantastiques (12)
 Contes hoffmann (12)
 Contes horreur halloween (3)
 Contes inde (32)
 Contes marocain (33)
 Contes scandinaves (7)
 Contes traditionnel (25)
 Fable La Fontaine (31)
 Histoire du conte (11)

 
Jean de fer  Format imprimable  Format imprimable (pour imprimer le conte)

Il était une fois un puissant roi dont le château trônait dans une vaste forêt, laquelle était peuplée de gibier de toutes sortes .
Un jour il y envoya un de ses chasseurs pour qu’il lui tuât un chevreuil.
Hélas, son chasseur ne revint jamais.
-« Peut-être lui est-il arrivé quelque accident ? », dit le roi et il y envoya les jours suivants deux autres de ses chasseurs, pour le rechercher, mais ceux-ci aussi ne revinrent pas.
Alors, le troisième jour, il fit venir tous ses chasseurs et leur parla ainsi :
« Passez la forêt au peigne fin et cherchez jusqu’à ce que tous trois vous les ayez retrouvé. »
Hélas, de ceux-ci aussi aucun ne revint et nul chien de la meute qui les avait accompagné. Depuis, personne ne voulut plus se risquer dans la forêt qui resta plongée dans un grand silence et une longue solitude. On apercevait parfoir un aigle ou un faucon la survoler.

Plusieurs années passèrent ; lorsqu’un jour un chasseur de passage voulant se ravitailler se présenta chez le Roi et proposa de se risquer dans le bois.
Le Roi ne voulait pas donner son accord, il dit :
-"Ce n’est pas sûr là-bas, je crains qu’il ne t’advienne rien de meilleur qu’aux autres et que tu n’en revienne pas."
-"Seigneur, je veux m’y risquer à mes propres périls car de la peur je ne connais rien !"
Le chasseur se rendit donc avec son chien dans la forêt. Bientôt, le chien se mit sur la trace d’un gibier et voulut le poursuivre ; à peine eut-il fait quelques pas, qu’il se retrouva devant une vaste flaque qui lui barrait le chemin. Soudain un bras jaillit de l’eau le saisit et le précipita dedans. Lorsque le chasseur le vit, il fit demi-tour et alla chercher trois hommes pour vider la flaque avec des seaux. Lorsqu’ils eurent atteint le fond, ils virent un homme hirsute, brun comme un fer rouillé et avec des cheveux pendant jusqu’aux genoux. Ils le ficelèrent et le conduisirent au château. Ce fut une grande sensation. Mais, le Roi le fit mettre dans une cage de fer dans sa cour et interdit sous peine de mort, d’ouvrir la cage. Le Roi fit mettre la clé en sécurité. Depuis, chacun pu à nouveau aller en sécurité dans la forêt.


Le Roi avait un fils de huit ans, il advint, un jour qu’il jouait dans la cour que sa balle en or tombât dans la cage. Le gamin accourut et ordonna :
-"Donne moi ma balle !"
-"Pas question !" répondit l’homme, "tant que tu ne m’auras pas ouvert la porte"
-"Non !", répondit l’enfant, "je ne le ferai pas, parce que le Roi l’a interdit !" et il s’éloigna.
Le jour suivant, il revint et réclama sa balle à nouveau. L’homme hirsute lui répondit :
-"Ouvre ma porte !" Mais l’enfant ne voulait toujours pas.
Au troisième jour, le Roi partit à la chasse à cour, le gamin revint à nouveau et dit :
-"Même si je le voulais, je ne pourrais pas ouvrir la porte, je n’ai pas la clé."
Alors l’homme dit :
-"Elle est sous l’oreiller de ta mère, tu peux la récupérer là !"
L’enfant qui voulait retrouver sa balle, passa outre sa conscience, et ramena la clé. La porte eut du mal à s’ouvrir, et l’enfant se coinça les doigts. Quand elle s’ouvrit, l’homme sortit lui donna la balle dorée et s’enfuit précipitament. L’enfant prit peur s’écria en l’appelant :
-"Ne pars pas, sinon je serais frappé."
L’homme se retourna, le souleva, le posa sur son cou, et partit à pas rapide dans la forêt. Lorsque le Roi revint, il remarqua la cage vide et demanda à la Reine comment cela est-il possible. Elle n’en savait rien et elle chercha la clé, mais elle avait disparu. Le roi envoya des gens les rechercher dans les prairies, mais ils ne le retrouvèrent pas. Il pouvait deviner, ce qui s’était passé, et une grande tristesse s’abattit sur la cour royale.


Lorsque l’homme hirsute fut revenu dans la sombre forêt, il reposa l’enfant et lui dit :
-"Tu ne verras plus ton père ni ta mère, mais je veux te garder près de moi parce que tu m’as délivré et j’ai piité de toi. Si tu fais tout ce que je te demanderai, tout ira bien. J’ai de l’or et des trésors à profusion et plus que quiconque sur cette terre.
Il fit, un lit de mousse à l’enfant, sur lequel il s’endormit ; et le lendemain l’homme le mena à une source et déclara ;
-"Vois-tu, la source d’or est claire et transparente comme du cristal, tu dois t’assoir et veiller à ce que rien ne tombe dedans sinon je serai déshonoré. Chaque soir, je viendrai et je verrai si tu as suivi mes consignes."
L’enfant s’assit au bord de la source, vit tantôt un poisson doré, tantôt un serpent doré et prit garde que rien ne tombât dans celle-ci. Tandis qu’il restait ainsi assis, son doigt lui fit brusquement si mal qu’involontairement il le plongea dans l’eau. Il la retira immédiatement de l’eau mais vit qu’il était devenu doré et il se donna en vain un mal fou à essayer de faire partir la dorure. Le soir, Le Jean DE FER revint, et vit l’enfant et dit :
-"Que s’est-il passé avec la source ?"
-"Rien, rien du tout" répondit l’enfant en cachant son doigt dans son dos pour qu’il ne puisse rien voir. Mais l’homme dit :
-"Tu as plongé ton doigt dans l’eau. C’est bon pour cette fois-ci mais je te préviens, rien ne doit de nouveau tombé dans la source."
Le lendemain à l’aube, il s’assit à nouveau près de la source et la surveilla. Son doigt lui fit mal à nouveau, et il le passa dans ses cheveux, c’est alors que malencontreusement un des ses cheveux tomba dans l’eau. Il le retira précipitamment, mais il était déjà recouvert de dorure. Le Jean DE FER revint et comprit aussitôt, ce qui s’était passé.
-"Tu as fait tombé un cheveu dans la source !" dit-il,
-"Je vais encore passer l’éponge, mais si arrive encore une troisième chose, alors la source sera déshonorée et tu ne pourras plus rester chez moi !"
Le troisième jour, le garçon s’assit près de la source, et ne bougea pas le doigt lorsqu’il lui fit mal à nouveau. Mais le temps lui paraissant long, il observa son visage se reflèter dans l’eau. Et comme il se penchait de plus en plus pour mieux se regarder, un de ses longs cheveux tomba de son épaule dans l’eau. Il se redressa brutalement mais toute sa chevelure fut dorée. Elle brillait comme le soleil. Vous pouvez imaginer combien le pauvre garçon était effrayé. Il prit donc son mouchoir pour se bander les cheveux pour que l’homme ne puisse rien voir. Lorsqu’il revint, il savait déjà tout et dit :
-"ote ton mouchoir !" Alors ses cheveux se déroulèrent et le garçon voulut s’excuser mais cela ne lui l’aida en rien.
-"Tu n’as pas réussi l’épreuve et tu ne peux pas rester plus longtemps ici. Pars et tu verras combien la pauvreté est pénible. Mais comme tu n’as pas mauvais coeur et que je t’ai à la bonne, je veux te permettre ceci : Lorsque tu auras besoin d’aide, viens dans la forêt et appelle moi :
-"Jean DE FER !", alors je viendrai t’aider. Ma puissance est grande, plus grande que ce que tu crois, et je ne manque ni d’or ni d’argent.


Alors le fils du roi quitta la forêt et erra par chemins et sentes jusqu’à ce qu’il arrive à une grande ville. Il y chercha du travail, mais il ne put en trouver aucun et il n’y apprit rien qui puisse l’aider plus avant. Finalement il alla au château et demanda s’ils voulaient bien le retenir. Les gens de la cour ne savait pas à quoi il pourrait être utile mais ils le trouvèrent sympathique et l’invitèrent à rester. En dernier ressort, le cuisinier le prit à son service et dit qu’il pourrait porter le bois et l’eau et évacuer les cendres. Un jour alors que personne d’autre n’était présent, il lui demanda de monter les plats sur la table royale, mais comme il ne voulait pas montrer ses cheveux dorés, il les dissimula sous son couvre-chef. Le roi à qui chose semblable n’était pas encore arrivée, lui dit :
-"Quand tu viens à la table royale, tu dois oter ton chapeau !"
-"Hélas vôtre seigneurie," répondit-il, "je ne le peux pas, j’ai méchante croûte sur la tête."
Le roi fit alors appeler le cuisinier et lui demanda comment il a pu prendre à son service un tel jeune garçon et lui ordonna de le chasser. Mais le cuisinier qui avait de l’affection pour le jeune garçon, l’échangea avec le jeune jardinier.


Dorénavant le jeune homme dû planter, arroser, tailler et creuser même par temps mauvais et venteux. Par un été torride alors qu’il travaillait seul dans le jardin il ota son bonnet afin de laisser l’air le rafraîchir. Le soleil jouèrent dans ses cheveux tant et si bien que les rayons se reflétant dans sa chevelure éclairèrent jusque dans la chambre de la fille du roi qui bondit pour voir ce que c’était. Elle aperçu le jeune homme et l’appela :
-"Garçon, apporte moi un bouquet de fleurs !"
Il remit précipitament son bonnet et cueillit des fleurs sauvages et les assembla en bouquet. Tandis qu’il montait l’escalier, il croisa le jardinier qui s’exclama :
-"Comment peux-tu apporter un bouquet de fleurs aussi misérables à la fille du roi ? Disparais et cherche les plus belles et les plus rares fleurs et rapporte les lui !"
-"Ah ! non", répondit le garçon, "les sauvages sont plus suaves et elles lui plairont mieux."
-"Comme il entrait dans la chambre, la fille du roi lui dit :
-"Ote ton bonnet, il ne se conçoit pas que tu puisses le conserver devant moi !"
-Il répondit à nouveau :
-"Je ne peux pas, j’ai une méchante croûte sur le crâne."
Mais elle attrapa le bonnet et l’arracha, les cheveux roulèrent sur ses épaules si bien qu’il était magnifique à regarder. Il voulut fuir, mais elle le retint par le bras et lui donna une pleine poignée de ducats. Il partit avec, mais n’avait pas d’attirance pour l’argent, il les rapporta au jardinier et lui dit :
-"Je les offre à tes enfants, ils pourront jouer avec."
Le jour suivant la fille du roi l’appela de nouveau, et devait encore lui rapporter un bouquet de fleurs des champs et tandis qu’il entrait, elle chercha à lui attraper le bonnet ; mais il le retint avec ses deux mains. Elle lui offrit de nouveau une pleine poignée de ducats qu’il ne voulut pas garder et les offrit donc au jardinier comme jouet pour ses enfants. Le troisième jour fut identique : Elle ne put lui oter son bonnet et il ne voulut pas de son argent.


Peu après le pays entra en guerre. Le roi rassembla son peuple pour organiser la résistance mais il ne savait pas que l’ennemi était très puissant et disposait d’une grande armée. Alors le jeune jardinier dit :
-"J’ai grandi ici et je veux faire la guerre ; donnez moi un cheval !"
Les autres rièrent et répondirent :
-"Lorsque nous serons partis, cherche-t-en un ; nous t’en laisserons un dans l’écurie."
Alors qu’ils furent partis, il alla dans l’écurie et sortit le cheval ; il boitait d’un membre et clodiquait. Il le monta et chevaucha jusqu’à la sombre forêt. Arrivé à son orée, il appela trois fois :
-"Jean DE FER ! Jean DE FER ! Jean DE FER !" si puissamment que son appel résonna entre les arbres. Bientôt apparut l’homme sauvage qui lui dit :
-"De quoi as-tu besoin ?"
-"J’ai besoin d’un puissant destrier, car je veux partir à la guerre."
-"Tu l’auras et plus que tu a réclamé !"
Puis cet homme rustre repartit dans la forêt, peu après, un écuyer en revint, il menait par la bride un destrier, renâclant par les naseaux et complètement harnaché. Derrière marchait une troupe d’hommes en armes habillés de cape en pied et dont les épées scintillaient dans les rayons du soleil. Le jeune homme tendit la bride de sa rossinante à l’écuyer, grimpa sur le destrier pour chevaucher devant sa troupe. En s’approchant du champ de bataille, nombreux étaient les sujets du roi qui étaient déjà tombés, il n’en restait que peu et ils s’affaiblissaient. Alors le jeune page, se rua sur l’ennemi avec sa troupe comme une tornade, et frappait tous ceux qui lui faisait face. Ils voulurent fuir, mais le jeune garçon leur tomba sur le dos n’abandonna pas jusqu’à ce que tous furent défaits.
Mais au lieu de s’en retourner vers le roi, il mena sa troupe et son destrier vers la forêt et appela de nouveau Jean DE FER.
-"Que veux-tu ?" demanda l’homme des bois.
-"Reprends ton cheval et tes hommes d’armes et rends moi ma rossinante." Ainsi fut fait comme il le voulait. Alors que le roi rentrait dans son château, sa fille vint à sa rencontre et le félicita pour sa victoire.
-"Ce n’était pas la mienne" dit-il "mais celle d’un chevalier étranger qui m’est venu en aide avec sa troupe." La fille voulut savoir qui était le chevalier étranger mais le roi l’ignorait et dit :
-"Il a défait nos ennemis et il a disparu !"
Elle demanda alors après le jeune garçon auprès du jardinier qui ria et dit :
-"Il est revenu avec son cheval boiteux, et tous les autres ont rigolé et l’ont houspillé :
-"Voici notre clop-clop de retour !" et lui demandèrent :
-"Dans quel coin t’es-tu fourré et où as-tu dormi ?"
Il répondit :
-"J’ai fait de mon mieux, et sans moi tout se serait mal passé !"
Alors les autres rigolèrent de plus belle.


Le roi parla à sa fille :
-"Je veux donner une grande fête, qui durera trois jours, tu devras jeter une pomme dorée : Peut-être l’inconnu viendra-t-il ?"
Lorsque la fête fut annoncée, le jeune garçon partit dans la forêt et appela le Jean DE FER.
-"Que veux-tu ?" demanda-t-il.
-"Que j’attrape la pomme dorée de la fille du roi !"
-"C’est comme si tu l’avais déjà", dit le Jean DE FER, "tu dois pour cela avoir un équipement écarlate et monter un fier renard."
Lorsque le jour fut venu, le jeune garçon entra dans le jeu, se cacha parmi les chevaliers et personne ne le reconnut. La fille du roi entra et lança une pomme dorée vers les chevaliers, mais personne sauf lui ne l’attrapa ; mais à peine l’eut-il qu’il s’enfuit. Le second jour le Jean DE FER l’habilla en chevalier blanc et lui confia un cheval blanc. Une fois encore il attrapa la pomme n’attendit pas et partit avec. Le roi était furieux et dit :
-"Ce n’est pas permis, il doit se présenter à moi et me conter son nom." Il donna des ordres pour que lorsque le chevalier qui avait attrapé la pomme s’il renouvelait son exploit devait être poursuivi et s’il ne voulait pas revenir qu’on devait le frapper et le piquer.
Le troisième jour, le Jean DE FER le vêtit de noir et lui donna un rappen (monnaie suisse) et il trouva à nouveau la pomme. Mais tandis qu’il s’enfuyait, les hommes du roi le poursuivirent, l’un d’entre eux l’approcha de si près qu’il put le piquer au mollet mais il leur échappa ; dans sa fuite, son destrier sauta si violemment qu’il en perdit son heaume laissant apparaître sa chevelure dorée. Ses poursuivants virent cette toison et s’en retournèrent au château et le racontèrent au roi.


Le jour suivant la fille du roi demanda au jardinier après son jeune apprenti.
-"Il travaille au jardin ; le jeune idiot s’est rendu à la fête et n’est revenu qu’hier soir ; il a aussi montré à mes enfants trois pommes dorées qu’il avait gagnées."
Le roi le fit donc venir et il portait toujours son bonnet sur son chef. Mais la fille du roi alla à sa rencontre et le lui arracha, ses cheveux tombèrent alors sur ses épaules. C’était merveilleux alors que tous s’émerveillaient.
-"Tu es les chevalier qui est venu à chaque jour de fête chaque fois avec une autre couleur (NdTR : blanc rouge noir anciennes couleurs du drapeau allemand), et qui a réussi à prendre les trois pommes ?" demanda le roi.
-"Oui !", répondit-il, "et voici les pommes !", dit-il en les sortant de ses poches en les tendant au roi.
-"Si vous voulez plus de preuves, vous pourrez voir la blessure que vos gens m’ont infligée tandis qu’ils me poursuivaient. Mais je suis aussi le chevalier qui vous a aider à vaincre vos ennemis."
-"Si tu peux accomplir de tels exploits, alors tu ne peux être apprenti jardinier. Dis-moi qui est ton père ?"
-"Mon père est un puissant roi, et de l’or j’en ai plus qu’on en peut vouloir."
-"Je le vois bien", dit le roi, "Je te suis redevable, que puis-je donc faire pour toi ?"
-"Oui", répondit-il, "vous pourriez m’offrir votre fille en mariage."
Alors la jeune femme sourit et dit :
-"Ce n’est pas difficile ! Mais j’avais déjà vu à ses cheveux d’or, qu’il n’était pas un apprenti jardinier." Elle alla à lui et l’embrassa. Pour les noces, vinrent ses parents qui avaient perdu tout espoir de revoir leur cher fils. Et tandis qu’ils s’asseyèrent à la table du festin, l’orchestre se tut, les portes s’ouvrirent et un fier roi entra avec une grande suite. Il alla au jeune prince le prit dans ses bras et déclara :
-"Je suis le Jean DE FER, un sort m’avait été jeté et j’ai été mué en homme sauvage mais tu m’as libéré. Tous les trésors que je possède sont maintenant tiens.







Les contes sont la propriété de leurs auteurs.
Envoyez moi vos contes sur ce mail (ajoutez votre nom, prénom et âge), je les mettrai en ligne avec plaisir!
Isabelle de contes.biz