Les contes pour enfant du monde

Terres eternelles

Il y a 1 500 ans avant même que les terres éternelles existaient, l’Être supérieur de toutes les créatures avait déjà créé un Univers parallèle. Une planète pas tout à fait ronde mais parsemé de montagnes, d’eau bleu vive, d’air fraîche et pure, de fruits sucrés et de douces mélodies. Tout pour y vivre confortablement avec aisance et richesse. Sur ces terres existaient des créatures tellement célestes qu’il ne pu en façonner d’autres semblables.

-Il a créé les Sirènes pour qu’elles puissent protéger les mers et les océans.
-Il a créé des Hippogriffes et des sylves pour protéger les vents.
-Il a créé les Anges pour qu’ils puissent protéger les cieux.
-Il a créé les Dragons pour qu’ils défendent les secrets au fin fond des cavernes.
-Il a créé les Elfes pour qu’ils puissent protéger les forêts vertes et leurs fruits. -Il a créé des Phénix pour qu’ils puissent protéger les feux.
-Il a créé les Fées pour qu’ils puissent conserver et transmettent la magie.
-Il a créé des Élémentaires pour protéger les terres et contrées.
-Il a créé des Rois et des reines pour l’aider à gouverner
-Et quelques Déesses et dieux pour le succéder.
Et il créa bien d’autres créatures divines pour propager son univers de vie.

Mais malheureusement des clans se sont créés, des races se sont succédé; des êtres de nuits, des êtres en soif de sang. Vampire, Loup-Garou, sorcières, Spectre et même des humains se sont formés et ces noms sont seulement les plus légendaires des êtres sanglants, tellement qu’on en parle encore aujourd’hui. Il on voulu la richesse, on voulu violé les lois écrites, on voulu souillé les terres interdites et agresser la loi de la vie.

Malgré leurs rends suprêmes quelques Dieux se révolta pour ne pas détruire ces races. Ils les protégeas en devenant avide de pouvoirs.

Il s’est avéré que parmi ces êtres dégoûtants quelques un sont née avec l’âme pure, défaut de leurs sociétés indisposés. Trop souvent, le donnant à chairs et à sang en hommage pour un Dieu déchu qu’ils vénéraient.

Parmi ces êtres maléfiques et cruelles, il existait Marquédéus, le seigneur des plus vastes terres. Il possédait un bon nombre de serviteur et d’homme à le respecter. Il avait conquéri ces terres à la perte même de son armée, jusqu’à la dernière goutte de sang. Maintenant il avait le pouvoir, la plus large terre pour un Seigneur. Le ¼ des terres ce que les autres appelaient maintenant « les terres damnés ». Il possédait une armée cruelle de combattant. Il avait tout pour qu’on le craigne et qu’on le dégoutte.

La légende disait que seul une armée de sept personnes à l’âme pure et distingue pouvait les abattre. Comment, on ne sais plus trop, cette légende passe de génération à génération mais depuis, plusieurs groupes se forment en rêvant de justice ou de pouvoir. Ce mythe varie d’une race à l’autre mais on peut y reconnaître plusieurs choses. On parle souvent d’une dague ou même d’amulettes magiques. On entend souvent parler que dans ce groupe il y aura un rois. C’est étonnant ce que les boules de cristal peuvent nous raconter mais cependant on peut mal les interpréter, ce qui peut être fatal. Mais pour parvenir à la survit de « Shadep Ferd » et de ses créatures, il y aura un bon nombre de pertes et de sang écoulé.


~*~

Une grande Elfe au cheveux droit et long était là. Elle avait aucune émotion dans son visage et ses gestes étaient moindres pour ne pas s’avérer à être inutiles. Elle était adossé contre un arbre, le regard perdu vers l’océan. Dans son esprit, elle semblait divaguer. Et puis elle se tourna, ses expressions ne trahissaient pas son questionnement sur ces gens étranges. Mais qu’est-ce qu’ils faisaient dans cette contrée? On était au cœur de la Forêt « Mekdrown » pas très loin du pays des Elfes. Elle se releva et les regardas sans rien dire pour ensuite se croiser les bras. Elle les scrutas un par un pour finalement se rendre compte qu’ils étaient tous aussi stupide les un comme les autres. Soulagée, elle retourna à son arbre pour faire le guet les prenants maintenant comme des êtres inférieurs et invisibles.







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